Aller au contenu principal

L'école apprend-elle l'égalité des sexes ?

L'école est mixte en France. Mais la mixité est loin d'être garante de l'égalité. Des filles plus discrètes en classe et des garçons qui souvent monopolisent la parole. Les premières ont les meilleurs résultats quand les seconds sont à la traîne. Une orientation scolaire qui dirige les filles vers les filières générales les moins prestigieuses et les secteurs les moins rémunérateurs. Quels sont ces mécanismes qui continuent à reproduire les inégalités entre les sexes ? Comment en finir avec les stéréotypes ? Et comment enseigner l'égalité ? (Source : éditieur Belin)

CONTEXTE

Une synthèse des travaux en sciences humaines et sociales produits sur le rôle de l’institution scolaire dans la (re)production des inégalités entre les sexes. L’ouvrage est divisé en sept chapitres. Le premier chapitre rappelle l’absence de mixité dans le système éducatif et ses conséquences sur les trajectoires des filles et des garçons. Le deuxième chapitre porte sur l’éducation des filles, il ouvre sur un exposé historique avec un arrêt sur les tentatives d’introduction de la mixité dans le système éducatif dès le 19e siècle. Cela mène l’auteure à aborder la question de la socialisation différenciée au travers un regard posé sur les jouets. Le corps du travail se concentre sur le corps enseignant, les pratiques éducatives et les supports pédagogiques comme fil rouge la question des inégalités de genre. Le dernier chapitre intitulé « une pédagogie égalitaire » se démarque du reste de l’ouvrage par sa dimension pragmatique sous forme de six recommandations concernant autant le matériel pédagogique que les techniques d’animation en classe. Cet ouvrage comblera tout-e étudiant-e et/ou spécialiste de l’éducation souhaitant faire évoluer sa pratique vers une éducation plus égalitaire.

Mots-clés :

Mixité, Education, École, Orientation, Égalité femmes hommes,

Informations complémentaires :

  • Lieu de production : France
  • Édition : Belin
  • Format : Papier
  • Durée d’éxcécution : 80 pages